Identité :Alvaro, le prénom choisi par sa mère principalement, son père n’a jamais été très doué pour trouver ce genre de chose. Il a dit amen à toutes les idées de prénom qu’avait Maria. Benítez, le nom de son père, plutôt courant en Colombie. Il l’aime ce nom de famille et il est fier de pouvoir le faire connaître dans le monde entier. Naissance :45 ans, les années filent plus vite qu’il ne le voudrait, mais c’est ainsi, ainsi que va la vie. Alvaro se fiche bien de vieillir, il apprécie même prendre de l’âge, apercevoir ces ridules aux coins des yeux, cette plissure entre les sourcils. Alors que beaucoup font tout ce qu’ils peuvent pour rajeunir, Alvaro, lui, laisse le temps faire son travail. Origines :Colombienne, d’aussi loin qu’il le sache, toute sa famille est née et a toujours vécu en Colombie. Sa mère a de lointains parents au Chili à ce qu’on lui a raconté, ses origines respirent l’Amérique Latine. Statut :Divorcé depuis cinq ans, après quinze ans de mariage. Un Alvaro très peu à la maison et sa femme plongée dans une routine qui la ronge. Une relation adultérine découverte alors qu’Alvaro avait décidé de réparer ce qui restait de son mariage. La pilule a été difficile à avaler, une claque en plein visage. Les cris et les larmes ont rythmé la procédure. Depuis, Alvaro a préféré les relations sans lendemain, ne prenant pas la peine de rappeler. Mais depuis peu, il y a ces yeux croisés près de la fontaine, ce souvenir de cette femme attablée à son restaurant, ce sourire poli échangé. Et puis ce myocarde qui se met à battre à nouveau et cette décharge électrique qui le fait vibrer. L’espace d’un instant. Et bientôt à nouveau. Métier :Gérant de trois restaurants dans le monde (Bogotá, New York et Naples), chef cuisinier en plein cœur de Naples, il fait découvrir la culture colombienne et sa cuisine épicée. Alvaro donne également de son temps dans une association d'aides aux enfants abandonnés et dans une maison de retraite. Il organise des ateliers autour de la cuisine, prépare repas et goûter pour chacun d’entre eux. Argent :aisé, ses restaurants lui permettent de vivre très bien. A Naples depuis :5 ans lorsque son divorce a été prononcé. Il a jeté son dévolu sur l’Italie et a réussi à se dessiner une nouvelle vie.
Conclusion de ta vie Depuis cinq ans, Alvaro se sent chez lui. Il a l'impression d'être là où il doit être et de faire ce qu'il doit faire. C'est une vie paisible qu'il mène, une vie qui lui ressemble. Elle le passionne et l'anime, Alvaro se sent utile chaque jour. Il a réussi à remonter la pente, à accepter son divorce, à accepter le changement. Cela n'a pas été de tout repos, mais aujourd'hui le Colombien se réjouit de ce que lui offre la vie. Encore plus tourné vers l'autre, il ne cesse de tendre la main à ceux qui en ont besoin.
(un) Bogota, en Colombie, dans les années 75. Un cri de douleur résonne dans le service de maternité de l'hôpital. Maria Benitez met au monde son premier enfant : Alvaro. Broyant la main de son mari, Javier, l'histoire ne dira jamais qui des deux a le plus souffert. De longues heures passent avant qu'Alvaro ne naisse enfin. Heureux évènement de la famille. Le premier d'une fratrie de trois. Il sera accueilli comme un petit prince. Son enfance sera des plus heureuses au sein de cette famille modeste. Grandissant dans une ferme, Alvaro a développé une passion pour la nature et les animaux. Il a rapidement apporté son aide à son père pour l'élevage et la récolte, et à sa mère pour vendre les produits de la ferme. Il a également aidé à s'occuper de son frère Diego et de sa sœur Alma lorsqu'ils étaient enfants. (deux) C'est à l'adolescence qu'Alvaro se passionne pour la cuisine, cet art qui lui permet de créer sans cesse. Les débuts sont rudes, de nombreux plats sont ratés ou brûlés. Sa famille sert de cobayes à toutes ses expériences. C'est ainsi qu'il avance, pas à pas. Ses parents le pousseront à suivre ses envies. Grâce à eux et à leurs économies, il intégrera une école de cuisine aux États-Unis. Durant ses études, il va apprendre tous les rudiments du métier de cuisinier. Il ne lâchera jamais et obtiendra son diplôme. Il fera quelques années dans le restaurant qui l'a formé avant de changer. (trois) âgé de vingt-trois ans, il fait la rencontre de sa future femme à New York aux États-Unis. Elle était en école de journalisme, et lui en poste dans son restaurant formateur. Des amis en commun, une seule soirée et le coup de foudre assuré. Ils se sont tout de suite aimés, d'un amour fort, passionné. Tout a été rapide entre eux. Emménagement ensemble, présentation mutuelle aux familles et nombreux projets. (quatre) A vingt-cinq ans, deux ans après, Alvaro demande Katherine en mariage. Elle acceptera aussitôt. Le colombien le sent, le sait, elle est celle qui lui faut. Le mariage se fera à New York, mais Alvaro demandera à ce qu'il soit renouvelé à Bogota. Un magnifique souvenir qui aujourd'hui lui laisse un goût amer dans la bouche. Alvaro et Katherine emménageront en Colombie, lui trouvera un travail comme cuisinier et elle comme journaliste reporter. Une vie qui se construit doucement, mais sûrement. (cinq) Alvaro est à son apogée, il a appris tout ce qu'il devait savoir alors il décide de placer toutes ses économies dans l'achat d'un restaurant. Son premier. Il l’a ouvert à Bogota dans sa ville natale. A 30 ans. Une réussite, une fierté. Un aboutissement de sa vie, de son rêve. Il peine au début à le faire fonctionner, mais peu à peu le bouche-à-oreille se fait. Alvaro gagne en popularité, aujourd'hui, ce restaurant il l'a donné à sa sœur Alma qui a suivi le même chemin que lui. Comme son frère, elle reste dans le traditionnel et travaille main dans la main avec Diego, qui lui a repris la ferme des parents. Une véritable affaire familiale. (six) Alvaro et Katherine ont envie de changement. Déjà trois ans que le Colombien a ouvert son premier restaurant et il souhaite aller vers d'autres horizons. Retour dans la ville natale de sa femme, New York. Katherine décroche un nouveau job comme présentatrice de chaîne télé. Quant à Alvaro, il décide d'importer la Colombie aux États-Unis. Non pas comme Pablo Escobar ou le Cartel de Cali l'ont fait, évidemment. Mais avec la nourriture et la culture qu'il aime tant. C'est ainsi qu'il ouvre son deuxième restaurant. Tout comme le premier, il lui faut un peu de temps avant que la foule ne vienne, mais grâce à la qualité de sa cuisine et le voyage qu'il offre, Alvaro fait rapidement recette.(sept) Le colombien est un hyperactif, il a toujours besoin de faire quelque chose. Lorsqu'il a ouvert son premier restaurant en Colombie, Alvaro va donner de son aide et de son temps pour pouvoir ouvrir une école de cuisine en plein cœur de Bogota. Il y sera formateur et aidera les futurs cuisiniers à faire aboutir leurs rêves. Aujourd'hui, il n'est plus formateur, mais il continue de faire des dons et passe parfois même lorsqu'il est en Colombie. (huit) La vie n'est pas un long fleuve tranquille et Alvaro le sait bien. Son divorce a été une véritable épreuve pour lui. Parce qu'il était convaincu que sa vie maritale ne serait qu'amour et stabilité. Naïf vous dites ? Un peu. Une dure épreuve qui a été longue et douloureuse à surmonter. Mais aujourd'hui, il se porte mieux. Il sent qu'il peut à nouveau être heureux. (neuf) Naples, sa renaissance, son coup de tête. Une fois son divorce enclenché, Alvaro a eu envie de partir, de déménager, de voir autre chose. Au hasard, sur une map, son doigt a d'abord atterri dans l'océan atlantique, une deuxième fois et la suggestion de la Sibérie l'a laissé sur sa faim. La troisième fut la bonne, l'Italie et Naples. Il a posé ses bagages en ville, a investi ses économies dans un restaurant dont le propriétaire a mis la clé sous la porte. Alvaro importe une nouvelle fois la culture colombienne dans un autre pays. Il mélange culture et semi-gastronomique. Peu à peu, il se fait un nom et une réputation.(dix) Une fois encore, Alvaro a besoin de bouger, de s'occuper. La solution ? Rejoindre des associations, faire du bénévolat. Il donne de son temps dans une association d'aides pour les enfants, il crée des ateliers de cuisine, préparent des repas lors de sortie et même lors de galas. Récemment, il donne également de son temps dans une maison de retraite, là-bas également, il crée et anime des ateliers cuisines.
ton groupe :BARBARESCOton avatar (crédit) :Pedro Pascal (kidd)
Dernière édition par Alvaro Benítez le Jeu 18 Mar 2021 - 19:43, édité 9 fois
# Sujet: Re: Alvaro Benítez ( le Jeu 11 Mar 2021 - 18:43 )
fire meet gasolinea part of me.
Dix ans plus tôt. Un couple comme il en existe beaucoup, mari et femme depuis quatre ans. Des projets dans la tête malgré le travail qui prend du temps. La maison, les enfants, une envie de construire une vie parfaite. Quelques bas qu'ils parviennent à surmonter. Mais pourtant depuis un an, Alvaro et sa femme, Katherine, connaissent des difficultés à concevoir un enfant. De multiples essais qui se soldent tous par des échecs. Kath a de plus en plus de mal à le supporter. Alvaro met un temps avant d'accepter qu'ils fassent ensemble des examens. Trop inquiet de connaître les raisons, de mettre des mots sur ce problème. Mais il l'aime, alors il finit par le faire, avec elle. Assis dans la salle d'attente de l'hôpital, Alvaro et Kath patientent. L'homme sent son cœur battre à une vitesse folle, ses mains devenir moites. Le temps s'écoule trop lentement, l'attente devient longue. « Madame et Monsieur Benítez ? », le couple se jette un regard et finit par se lever. Alvaro sent la main de sa femme se resserrer sur la sienne. Il tente un sourire rassurant alors que son cœur bat à tout rompre, que l’inquiétude fait dresser son épiderme. Le bureau est blanc, l’odeur de désinfectant chatouille ses narines. Alvaro déglutit difficilement. Le médecin prend place, face à eux. Dossier posé devant lui, il l’ouvre beaucoup trop lentement. Alvaro a envie de le presser, de lui dire de se bouger. Mais il sent la main de sa femme se resserrer, comme si elle l’avait senti se crisper. « Nous avons vos résultats. Je suis au regret de vous annoncer que vous êtes stérile Monsieur Benítez. ». Coup de poing reçu en plein ventre, uppercut en plein visage. Un bruit sourd qui bourdonne violemment dans les oreilles d’Alvaro et un brouillard qui masque soudainement sa vue. Il peine à assimiler, à comprendre les mots qui viennent d’être prononcés. Stérilité. La fin d’un projet. Espoirs réduits au néant. Aucune chance d’avoir des enfants naturellement. Il ne sait pas combien de temps s’est écoulé avant qu’il n’entende à nouveau une voix essayant de le ramener à la réalité. Aucun mot ne parvient à s’échapper. C’est sa femme qui finit par l’aider à se lever, à quitter cet endroit. Une fois dans leur maison, Alvaro se laisse tomber, sur son canapé. Ses yeux clignent plusieurs fois, son index et son pouce viennent pincer l’arête de son nez. Qu’ont-ils fait pour mériter cela ? Déphasé, abasourdi et dévasté. C’est une des raisons qui a fini par les briser.
Cinq ans plus tôt. Le mariage d’Alvaro et Katherine s’essouffle peu à peu depuis quelques années à présent. Depuis l’annonce de cette impossibilité d’avoir un enfant, les choses sont devenues complexes entre eux. Kat ne veut ni d’adoption, ni fécondation. Le poids de la culpabilité devient difficile à gérer pour Alvaro. Alors il se plonge corps et âme dans ses restaurants, naviguant entre New York et Bogotá. Il s’investit même dans l’apprentissage de la cuisine auprès de jeunes qui souhaitent en faire leur métier. Il part tôt, rentre tard. Et Katherine sent que son mari lui échappe. La routine s’installe sur la durée, Alvaro fait de moins en moins d’effort pour éviter cela. Les allers-retours vers la Colombie deviennent plus fréquents, sous prétexte du travail. Mais la réalité est qu’Alvaro a du mal à gérer ce mariage qui part en lambeau. Il ne supporte plus le regard de sa femme qui fait poser sur lui tous les regrets du monde. Il se sent coupable. Coupable d’avoir anéanti les espoirs qu’elle avaient fondés dans leur mariage. Sa famille lui répète que tout ça est dû à un problème médical, qu’il n’est blâmable. Les années passent et leur amour s’estompe. Dans un dernier élan d’espérance, Alvaro tente de réparer les pots cassés. Mais comment parvenir à raccommoder quelque chose de totalement brisé ? Le Colombien en fait la mauvaise expérience. Ce soir-là, en entendant la porte se fermer et des rires résonner, Alvaro a compris qu’il venait d’être remplacé. Il n’a pas su dire, qui de sa femme ou lui a été le plus surpris. Face à elle et à son amant, Alvaro ne dit pas un mot, reprenant sa valise qu’il n’a pas défaite. Elle le poursuit alors Katherine, il l’entend courir derrière en l’appelant. Mais il prend le premier taxi, direction Bogotá, en Colombie. Il y passe deux mois, mettant tout en œuvre pour divorcer. La dernière fois qu’il voit Katherine ? Lors de la signature des papiers officialisant la fin de leur mariage, la fin de quinze ans d’union.
Quelques semaines plus tôt. Planté devant la fontaine, Alvaro passe tous les jours devant cette dernière. Il s’arrête ainsi quelques minutes, regardant l’eau qui jaillit. Il ne sait pourquoi, mais il se sent apaisé rien qu’en écoutant ces bruits-là. Le monde vit derrière lui, mais il n’en fait jamais cas. Mis à part ce jour-là. Une silhouette qui apparaît dans son dos. Alvaro ferme les yeux et comme à son habitude se met à faire un vœu. Un petit rituel que lui seul connaît. La silhouette derrière lui ne semble pas bouger alors Alvaro qui ne peut s’empêcher de jeter un oeil par dessus son épaule. Les regards se croisent, un sourire poli est échangé. Le colombien la reconnaît. Cette femme. Elle avait pour habitude de venir dîner dans son restaurant, au bras de son mari. Il arrivait parfois qu’ils échangent brièvement, l’espace d’un instant. Alvaro la regarde quelques secondes, mais rien ne se passe. Osera-t-il tenter quelque chose ? Un signe de la main, un bonjour ou un mot gentil ? Il hésite et se met à réfléchir. « Et si elle ne se souvient pas ? », « Peut-être a-t-elle d’autres choses à faire que de rester là à discuter avec moi ? », « Quoi lui dire ? Tiens bonjour vous vous souvenez moi, vous veniez souvent dîner avec votre mari. », ridicule. Les questions se bousculent à une vitesse folle. Il peine à réfléchir et à mettre de l’ordre dans ses idées, dans son esprit. Le temps passe, lui glisse entre les doigts. Mais Alvaro se fait violence et finit par se retourner. La bouche entrouverte, prêt à parler, il constate avec amertume que la jeune femme s’est envolée. Il laisse un soupir lui échapper. Peut-être aura-t-il l’occasion de la croiser à nouveau ?
Dernière édition par Alvaro Benítez le Mer 17 Mar 2021 - 18:50, édité 4 fois
Ishbel TejeiroBon pour te remonter le moral
Faceclaim : Natalie Portman @Chaussette + bone_echo Sujets sensibles : Validisme, Zoophilie ainsi que la violence animale en générale et la psychophobie. Thème·s abordé·s : Violences conjugales, dépression, consommation de cannabis, traumatismes liés à un accident de voiture. Je suis absent-e : Présence réduite : du 24 Février jusqu'au 07 Avril maximum Messages : 482- Points : 1361 Âge : 39 ans Métier : Femme au foyer, bénévole au refuge animalier Refuge Un'Altra Chance et dans une maison de retraite
# Sujet: Re: Alvaro Benítez ( le Jeu 11 Mar 2021 - 18:44 )
Prems prems prems
Biiiiiienvenue chez toi Bon courage pour ta fiche, tu sais où me trouver si tu as la moindre question : j'ai hâte hâte
Silver lining
Comme quoi, une femme sans amour c’est comme une fleur sans soleil, ça dépérit.by Wiise
Amalia LombardiBon pour te remonter le moral
Faceclaim : emma watson + fasslylove.. Sujets sensibles : violences sexuelles, violences animales. Thème·s abordé·s : aucun je pense. Messages : 566- Points : 713 Âge : trente années. Métier : danseuse professionnelle arrêtée suite à une blessure au genou, travaille comme serveuse dans un salon à thé.
# Sujet: Re: Alvaro Benítez ( le Jeu 11 Mar 2021 - 19:13 )
bienvenue à toi
- - all i remember is the smile on your face, and it will kill me everyday ‘cause I don't even know your name.
Telia StokesTu te bonifies avec l'âge… ou pas
Faceclaim : Kerry Washington (@Cinderella) Sujets sensibles : Les relations toxiques Thème·s abordé·s : Divorce, faits judiciaires, fausses couches Je suis absent-e : en PR jusqu'au 5 avril Messages : 66- Points : 136 Âge : 39 ans, bientôt 40 ans (6.05.1981) Métier : Journaliste à Il Mattino et free-lance
# Sujet: Re: Alvaro Benítez ( le Jeu 11 Mar 2021 - 19:43 )
# Sujet: Re: Alvaro Benítez ( le Jeu 11 Mar 2021 - 19:45 )
Oh Pedro... Bienvenue officiellement à toi, tu as fait un excellent choix de pré-lien
I never, even for a moment, doubted what they’d told me. This is why it is that adults and even parents can, unwittingly, be cruel: they cannot imagine doubt’s complete absence. They have forgotten.
# Sujet: Re: Alvaro Benítez ( le Ven 12 Mar 2021 - 8:03 )
Bienvenue officiellement parmi nous contente que tu es craqué et que tu allies ton perso au pré lien de la belle Ishbel.
Bon courage pour ta fiche. Et hâte de mettre en place le lien prévu entre Gus et Alvaro.
나무를 심는데 가장 좋았던 때는 20년 전이었다. 두 번째로 좋은 때는 지금이다 Le meilleur moment pour planter un arbre c’était il y a 20 ans. Le deuxième meilleur moment, c’est maintenant.
# Sujet: Re: Alvaro Benítez ( le Ven 12 Mar 2021 - 10:12 )
Bienvenuue sur le forum hâte d'en lire plus, cette fiche est un peu trop vide à mon goût courage pour remplir tout ça et amuse-toi bien parmi nous du coup
Before it's too late, just hold on
What if you're making me all that I was meant to be ? What if our love never went away ? What if it's lost behind words we could never find ?
# Sujet: Re: Alvaro Benítez ( le Ven 12 Mar 2021 - 21:20 )
Olala Pedro Pascal Quel excellent choix !!
Bienvenue sur CV
— Maybe it was me Do you remember when we were so good ? You were my first and you've taken a piece of me. I painted you in the blame and it’s not okay... I know I'm stubborn but I still think about you... 'Cause maybe it was me who fucked it up. And I regret all the times of leaving you